
L’auteur avait dix ans quand il a vu, sur l’esplanade de sa ville natale au Maroc, quinze chevaux superbes traverser l’espace dans un furieux galop et s’arrêter net devant la tribune où étaient assis les notables. Dressés sur leurs étriers, les cavaliers ont tiré et le visage de l’homme assis au centre de l’estrade a disparu sous un flot de sang. Dans La vie, l’honneur, la fantasia, Fouad Laroui revit cette extraordinaire journée.
Dans Un mal irréparable, Lionel Duroy raconte l’histoire d’un écrivain à succès qui n’a jamais su qu’il avait été victime, enfant, de la tyrannie des communistes roumains. Aurait-il connu une autre destinée si ses parents n’avaient pas cru légitime de lui cacher le cauchemar qu’ils avaient enduré ? Cette question ne va plus cesser de l’obséder.
Dans Le Fardeau, Matthieu Niango raconte une étonnante aventure. Français par sa mère et ivoirien par son père, il apprend à vingt-trois ans que sa mère a été adoptée et qu’elle ignore tout de ses parents biologiques. Découvrir qu’elle est née dans un lebensborn, une pouponnière nazie, est un terrible choc qui vont les conduire à traverser l’Europe pour recomposer un ahurissant arbre généalogique.
En 1997 Philippe Jaenada nous donnait Le Chameau sauvage que nous sortions aux Éditions Julliard.
En 1998, aux mêmes Éditions Julliard, Yasmina Khadra nous confiait Les Agneaux du Seigneur.
Nous sommes vraiment heureux de les réunir à nou-veau, chez Mialet-Barrault cette fois, et, après tant d’inoubliables succès, d’offrir à leurs innombrables et fidèles lecteurs les magnifiques Cœur-d’amande de Yasmina Khadra et La désinvolture est une bien belle chose de Philippe Jaenada.<
Dans Mes pas dans leurs ombres, Lionel Duroy suit pas à pas son héroïne dans sa recherche furieuse et désespérée de ces Roumains dont elle descend, ces gens qui continuent à nier avoir commis un des pires crimes collectifs du xxe siècle.
Mazarine Pingeot nous entraîne dans Le Salon de massage, ce lieu singulier où une jeune femme va se trouver confrontée aux questions essentielles que pose aujourd’hui la société contemporaine.
Comme beaucoup de jeunes écrivains, le personnage de Benjamin Planchon croyait toucher à la gloire quand les droits audiovisuels de son premier roman ont été vendus au cinéma. Avec une verve et une invention rares, Sois clément, bel animal est le récit d’une descente vertigineuse et désopilante dans les enfers de la création cinématographique.
... Et, en octobre, la parution du roman inachevé de Jean Teulé L’histoire du roi qui ne voulait pas mourir.

L’auteur avait dix ans quand il a vu, sur l’esplanade de sa ville natale au Maroc, quinze chevaux superbes traverser l’espace dans un furieux galop et s’arrêter net devant la tribune où étaient assis les notables. Dressés sur leurs étriers, les cavaliers ont tiré et le visage de l’homme assis au centre de l’estrade a disparu sous un flot de sang. Dans La vie, l’honneur, la fantasia, Fouad Laroui revit cette extraordinaire journée.
Dans Un mal irréparable, Lionel Duroy raconte l’histoire d’un écrivain à succès qui n’a jamais su qu’il avait été victime, enfant, de la tyrannie des communistes roumains. Aurait-il connu une autre destinée si ses parents n’avaient pas cru légitime de lui cacher le cauchemar qu’ils avaient enduré ? Cette question ne va plus cesser de l’obséder.
Dans Le Fardeau, Matthieu Niango raconte une étonnante aventure. Français par sa mère et ivoirien par son père, il apprend à vingt-trois ans que sa mère a été adoptée et qu’elle ignore tout de ses parents biologiques. Découvrir qu’elle est née dans un lebensborn, une pouponnière nazie, est un terrible choc qui vont les conduire à traverser l’Europe pour recomposer un ahurissant arbre généalogique.
Dans les années 1980, il n’était pas évident d’être le fils d’une mère française et d’un père ivoirien. Il fallait être entouré de beaucoup d’amour et s’accrocher ferme pour entrer à l’École normale supérieure et réussir l’agrégation de philosophie...
La troupe s’ébranle. Elle marche au pas, puis l’allure augmente et c’est le galop. Le chef lance un deuxième cri. Les cavaliers se dressent sur leurs étriers et brandissent haut leurs fusils. Le chef donne le troisième signal. De la bouche de chaque fusil jaillit l’éclat de lumière et puis c’est la déflagration, une seule détonation faite de quinze autres, sinistre, ef-frayante, qui retentit dans le ciel...
À la fin d’une vie couronnée de succès, l’écrivain Frédéric Riegerl découvre que ses parents lui ont menti. Ils lui ont délibérément caché les tortures que leur ont infligées les communistes roumains au début des années cinquante. Ils lui ont toujours fait croire que son histoire a commencé à leur arrivée en France...
Autres livres
chez Mialet-Barrault
Elle a passé son enfance et son adolescence dans une ville ouvrière sur la frontière allemande. Sa mère a eu dix enfants. Six d’un juif autrichien et quatre d’un Algérien. Elle est la fille de l’Algérien, mais porte le nom du Juif. Vive, intelligente, rebelle, rien ne l’arrête.
À l’âge où il est d’usage d’envisager un repos bien mérité, Lionel Duroy a choisi d’enfourcher son vélo et de s’en aller vers ces endroits qui l’ont toujours fasciné : la Roumanie, la Moldavie, la Transnistrie… et peut-être Stalingrad.
Silencieux et docile, Marcel n’a jamais eu, de toute sa vie, d’autres horizons que les murs de son usine. L’usine est assassine. Elle brutalise, humilie, écrase, dégrade, mutile. Dans ce roman singulier, à la fois cruel et tendre, Arthur Nesnidal utilise tous les styles d’écriture, de la prose au calligramme en passant par les formes les plus diverses de l’expression poétique et théâtrale pour expri-mer la solitude effrayante à laquelle sont condamnés cer-tains de nos contemporains.
Imaginez que vous soyez responsable d'un crime dont vous n'avez aucun souvenir. C'est précisément la situation dans laquelle Émile s'est retrouvé. Quand il s'est réveillé, une femme était morte à ses pieds, assassinée. Une heure oubliée où le pire est arrivé. En sortant de prison des années plus tard, Émile pensait pouvoir tout effacer de cet interminable cauchemar.







